Depuis 70 ans, l’engagement de Cœur + AVC envers l’excellence en matière de recherche est inébranlable grâce à des donateurs comme vous. Voici quatre exemples d’innovations de chercheurs de Cœur + AVC qui pourraient profiter aux futures générations.
Scott Widenmaier, Université de la Saskatchewan
Objectif : Activer les défenses de l’organisme pour combattre les taux élevés de cholestérol. Un taux élevé de cholestérol est un facteur important menant à l’obstruction des vaisseaux sanguins, et ce, en particulier chez les personnes atteintes d’obésité. Toutefois, les défenses naturelles présentes dans certaines cellules peuvent réduire l’incidence d’un taux élevé de cholestérol. M. Widenmaier cherche des façons de déclencher ces défenses et ainsi prévenir les crises cardiaques et l’AVC.
Grant M. Hatch, Université du Manitoba
Objectif : Bloquer la route à l’insuffisance cardiaque. M. Hatch étudie la façon dont le cœur produit de la cardiolipine, un lipide essentiel qui contribue à faire battre le cœur. Lorsque le taux de cardiolipine chute, il en résulte une insuffisance cardiaque. M. Hatch cherche un moyen d’augmenter le taux de cardiolipine et de prévenir l’insuffisance cardiaque.
Susan Howlett, Université Dalhousie
Objectif : Préserver la santé cardiaque des femmes et des hommes âgés. Mme Howlett étudie la façon dont la fragilité liée au vieillissement affecte le cœur, en accordant une attention particulière aux disparités entre les sexes et les genres. Elle mène des recherches sur des traitements qui pourraient réduire la fragilité et ses effets nuisibles sur la santé cardiaque, et ce, tant chez les femmes que chez les hommes.
Jodi Edwards, Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa
Objectif : Prévenir les AVC causés par la fibrillation auriculaire. La fibrillation auriculaire (FA), un battement cardiaque irrégulier, constitue un facteur de risque majeur d’AVC et de déficit cognitif, et elle touche les femmes de façon plus importante. Mme Edwards étudie les signes précoces de FA dans le but de prédire qui sont les personnes les plus à risque et, ultimement, utiliser des médicaments pour prévenir l’AVC et le déficit cognitif.